Mot de la graffeuse :
En moi pas de géométrie variable, les formes et les volumes ne s’adaptent pas à mes besoins de respirer, marcher, vivre…les ronds se tordent, les lignes se brisent et les carrés s’effritent… Pourtant dans ce chaos invisible où les mathématiques ne donnent aucune solution, j’ouvre un chemin. J’accepte que la douleur passe, comme une contraction pendant un accouchement… jusqu’à l’accouchement de moi-même, encore et encore. Alors mon corps se redresse par la force de mon esprit, par l’amour que je me porte à moi-même. Mon corps ma prison, devient mon trésor « Mon kor, mon zarlor ». Je réalise que mes maux traduisent ce que je sais déjà : « mal, mal, mal ». Alors que si je décide d’écouter cette douleur, je peux apprendre de nouvelles vérités. Je suis forte, je suis libre, je m’élève et je vibre. »
Audrey de Dey_mko sur Instagram
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